Nationalité: Français
Né à Port-vila, Nouvelles Hébrides (Vanuatu) le 29 novembre 1950.
Formation: Diplôme en audiovisuel – Formation universitaire en droit, économie, économie du développement, analyse et financement de projets, finance, histoire, géographie, gestion d’entreprise, marketing et développement durable.
Carrière principalement dans la fonction publique.
Un fils, Hugues, une fille, Angèle, et deux petits-fils, Thomas et Luca.
Marié à Susan Wanmer.
Fondateur du projet Mundum Nostrum.
“Ma formation, mon expérience professionnelle, ma vie m’ont appris que nous devons, chacun et collectivement, faire tout notre possible pour aider notre communauté, notre pays, le monde. Cependant, bien que ma communauté et mon pays occupent une place importante dans mes préoccupations, la vision de notre “village mondial” m’a rendu conscient de l’attention que requièrent la situation des pays en développement et la fragilité de notre environnement. Les problèmes sont planétaires, les solutions de même.
Les consommateurs non seulement réclament de la qualité et des prix, mais exigent aussi une citoyenneté d’entreprise. Dans un marché mondial extrêmement compétitif les entreprises rivalisent au final en termes de réputation et d’image. Elles acquièrent et consolident cet avantage concurrentiel en démontrant leur responsabilité sociale d’entreprise, leur citoyenneté, en particulier au travers de leur politique philanthropique.
Je me suis rendu compte que, loin d’y avoir les antagonismes qu’on se représente entre pays développés et pays en développement, il pourrait bien y avoir des synergies entre eux, et que les premiers pourraient aider les seconds à résoudre leurs difficultés tout en continuant à améliorer leur rentabilité. Une situation “gagnant-gagnant” en quelque sorte.
C’était ma vision de notre monde à ce moment-là. Je devais faire quelque chose. Je voulais que le projet naissant soit perçu comme universel, pour le bien du monde. Le recours au latin m’a paru approprié. J’ai donc choisi la traduction latine de “Notre Monde” – Mundum Nostrum.
Pour faire bouger les choses il faut pouvoir être entendu et écouté. Il était donc nécessaire pour moi d’appliquer le principe “Nani gigentum humeris insidentes” (“des nains sur des épaules de géants”) et d’impliquer des icônes internationales. Aussi j’ai rencontré Sir Richard Branson au Virgin Blue Hangar Black Tie Ball le samedi 5 août 2006, lequel m’a dit l’intérêt que le projet suscitait chez lui et m’a engagé à le poursuivre.
J’espère sincèrement que les entreprises du monde entier entendront, comprendront et suivront le message de paix et de croissance de Mundum Nostrum.
Philippe Buteri de Préville
Le 18 mars 2010
www.buteridepreville.fr
